C'est l'élément le plus visible et le mieux préservé de la ville andalouse. Ils ont été construits à partir de la citadelle pour entourer et protéger la médina. Après la conquête, ils ont perdu leur fonction et ont été absorbés par les maisons voisines. Une grande partie des murs des anciens remparts est encore visible sur la Plaza de la Constitución, la Calle de las Tiendas et les Murallas Altas, mais pas les quatre portes d'accès, dont une seule a été partiellement conservée. Le théologien du XVe siècle al-Wansharisi les cite dans son œuvre lorsqu'il parle d'un habiz (dotation) dont "une partie est destinée à la garde des chrétiens qui s'approchent de Balish, et l'autre à ceux qui montent la garde la nuit et passent la nuit sur les murailles de la ville".